En principe, rien ne s'oppose à ce qu'elle permette de connaître l'état d'imprégnation de l'organisme par une substance stupéfiantes ou médicamenteuse car il s'agit d'un milieu liquide hydrique dont la fabrication se fait à partir des autres milieux hydriques de l'organisme. Cependant, l'équilibre avec ces autres milieux hydriques est assez mal connu et finalement il n'existe pas de courbe de référence d'apparition d'une substance dans la salive en fonction d'une dose quelconque administrée. Tant qu'on ne disposera d'aucune courbe de référence, l'interprétation diagnostique sera difficile.